Former autrement pour mieux construire demain
Moins de moyens. Plus d’exigences. Et des mutations profondes, accélérées par l’urgence climatique et la transformation énergétique.
Le secteur du BTP vit une période charnière, et les organismes de formation sont en première ligne.
Face à cette complexité croissante, la construction modulaire – qu’elle soit à base de containers, bois ou autre – n’est pas une niche. C’est une réponse. Une réponse aux enjeux environnementaux, aux nouvelles normes, aux aspirations sociétales… mais aussi une réponse pédagogique, qui impose de revoir la manière dont on forme aujourd’hui aux métiers du bâtiment.
BTP en transition, formation en tension
Les constats sont nombreux et convergents :
- les métiers du BTP évoluent à grande vitesse,
- les référentiels peinent à suivre,
- les jeunes décrochent,
- les moyens alloués à la formation diminuent,
- les besoins en compétences explosent.
Autrement dit : le compte n’y est pas.
Et ce sont bien les acteurs de terrain, les organismes de formation engagés sur des formats innovants, qui doivent aujourd’hui porter la transition.
C’est ce que nous faisons chez Forma’Cargo, depuis nos débuts.
Pédagogie active, gestes durables
Former aux métiers du hors-site, ce n’est pas simplement empiler des modules.
C’est apprendre à penser autrement : filière sèche, gestion des déchets, production industrialisée, logistique optimisée, sobriété énergétique, adaptabilité des usages…
C’est aussi – et surtout – redonner du sens à l’apprentissage, en confrontant les apprenants à des situations réelles, des chantiers concrets, des partenaires engagés.
Et maintenant ?
La construction change. Elle devient plus technique, plus transversale, plus économe, plus collective.
Mais si nous voulons qu’elle devienne aussi plus désirable, plus inclusive, plus ancrée dans les territoires, il faut investir massivement dans la formation.
Et surtout, dans des formats agiles, en rupture avec les schémas classiques. Nous défendons une vision de la formation qui ne subit pas les transitions, mais qui les anticipe.
Parce que sans compétences, il n’y aura pas de transformation. Et sans formation, pas de compétences.